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  • Photo du rédacteurAldo Maffeo

Histoire du calendrier Maya

Dernière mise à jour : 21 déc. 2017

Les Mayas on peuplés l’Amérique centrale de environ – 1000 à 1697. Ils vivaient dans le sud du Méxique et sur les hauts plateaux du Guatemala. Vers moins 500 avant notre ère ils fondent Tikal, Copan et Palenque. Puis ils les abandonnent vers le neuvième siècle sans que l’on sache vraiment pourquoi. Suivant les archéologues, un de ces peuples Mayas viendraient de la sierra Nevada au Mexique aux alentours d’un volcan le Popocatepetl (la montagne fumante) il est encore en activité aujourd’hui. Aux premiers siècles de notre ère après une violente éruption environ 100,000 personnes prennent la fuite en direction du Nord Est. Ils ont tout perdus



Là ils s’installent dans une vallée fertile et fonde Teotihuacan. Mais certains archéologues pensent qu’ils n’y avaient pas que des Mayas à l’origine de la fondation de cette ville, des Nahuas, Otomis, Totonaques, Zapotèques, Mixtèques étaient présents. C’est une cité immense pouvant accueillir 200,000 habitants et composé de pyramides dédiés en l’honneur des dieux. Et tout ceci en 200 ans après avoir tout perdu, sans connaitre la roue, le palan, le fer, cela serait due à leur foi et à leurs forces physiques plus qu’a leurs sens de l’innovation ceci avec une précision faisant pâlir nos meilleurs architectes et ingénieurs. Tout cela basé sur la géométrie sacré.


Dans la deuxième moitié du 6eime siècles. C’est sans doute encore un volcan qui ruine la ville à 1500km de là. L’Ilopango dans l’actuel Salvador, entre en éruption en 536 de notre ère, détruisant tout dans un rayon de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres. Mais ceci fait partit des 88 théories qui s’affrontent et dont aucune n’est vraiment probante.

Puis Au 14eime siècles les Aztèques redécouvrent Teotihuacan, abandonné depuis plusieurs siècles. Aujourd’hui les Mayas sont 6 millions et parlent une trentaine de langues.


D’après Carlos Barrios. Historien, anthropologue et chercheur, Carlos Barrios naquit au sein d’une famille espagnole de l’Altiplano, sur les hauteurs du Guatemala. Sa famille vivait à Huehuetenango, qui est également le lieu de résidence de la tribu maya Mam. Les Mam sont considérés chez les Mayas comme les Gardiens du Temps, des références et des autorités au niveau des anciens calendriers. Après avoir étudié pendant 25 ans auprès des Anciens de la tribu Mam, Barrios devint lui-même un Ajq’ij Maya, un prêtre habilité à officier des cérémonies et un Guide Spirituel du Clan de l’Aigle.

Le calendrier Maya proviendrait de la civilisation olmèque. Le calcul des Prêtres Mayas était si précis que la correction de leur Calendrier est de dix millièmes de journée plus exacte que le calendrier en usage actuellement dans le monde.

De tous les anciens systèmes de computation du temps, ceux des Mayas et les autres systèmes méso-américains sont les plus complexes et les plus détaillés. Leur mois était de 20 jours et l’année civile était double : Un cycle sacré de 260 jours, appelé «Tzolkin», et l’année vague de 365 jours, ou Haab. Ces deux Calendriers coïncidaient tous les 52 ans. Cette période de 52 ans était désignée sous le nom de «faisceau» et elle représentait pour les Mayas l’équivalent d’un siècle pour nous.

Le cycle sacré de 260 jours est composé de deux cycles plus courts : les chiffres/nombres 1 à 13, et 20 noms de jours différents. Le nom de chaque journée est représenté par un Dieu qui transporte le temps à travers le ciel, marquant ainsi le passage du jour à la nuit. Les noms des jours sont les suivants : Imix, Ik, Akbal, Kan, Chicchan, Cimi, Manik, Lamat, Muluc, Oc, Chuen, Eb, Ben, Ix, Men, Cib, Caban, Eiznab, Cauac et Ahau. Certains de ces noms renvoient à des divinités animales comme Chuen (le chien) et Ahau (l’aigle) ; certains archéologues ont fait remarquer que la séquence des animaux chez les Mayas est parallèle à celle des signes lunaires du zodiaque de nombreuses civilisations de l’Orient et de l’Asie du Sud-est.

Selon la formule du Tzolkin de 260 jours, le temps n’est pas linéaire mais il évolue en cercles concentriques semblables à une spirale. Les deux cycles de 13 et de 20 s’entremêlent et se répètent sans cesse. Le Calendrier commence donc par 1 Imix, 2 Ik, 3 Akbal, et ainsi de suite jusqu’à 13 Ben, après quoi il enchaîne avec 1 Ix, 2 Men, etc. Dans ce contexte, le jour Imix devient 8 Imix. Le dernier jour de ce cycle de 260 jours est le 13 Ahau. Personne ne connaît au juste l’origine de ce Calendrier inusité. Le cycle de 260 jours peut regrouper plusieurs événements célestes, y compris la configuration de Mars, les apparitions de Vénus, les saisons d’éclipse et même l’intervalle entre la conception et la naissance des êtres humains.

Le Calendrier de 260 jours servait à déterminer les activités importantes liées aux Divinités. On l’utilisait pour nommer les personnes, prédire l’avenir et décider des dates propices aux grands événements comme, par exemple, les combats ou les mariages. Chaque journée comportait ses augures et ses associations et la cadence inexorable des 20 jours évoquait une machine de prédiction de l’avenir guidant la destinée des Mayas.

L’année vague, ou haab, de 365 jours était semblable à notre calendrier moderne ; elle comportait 18 mois de 20 jours chacun et se terminait par une période de cinq jours. Le calendrier profane de 365 jours se rapportait surtout aux saisons et à l’agriculture et était basé sur le cycle solaire. Les 18 mois mayas étaient les suivants, dans l’ordre : Pop, Uo, Zip, Zotz, Tzec, Xuc, Yaxkin, Mol, Chen, Yax, Zac, Ceh, Mac, Kankin, Maun, Pax, Kayab, Cumku. La période de malchance, qui durait cinq jours et portait le nom de uayeb, était tenue pour une période critique, marquée par le danger, la mort et le mauvais sort.

La nouvelle année solaire Maya aurait débuté à un moment donné au cours de notre mois de juillet, par le mois Maya Pop. Le mois Maya de 20 jours débutait toujours par le positionnement du mois, suivi par les jours numérotés de 1 à 19, puis par le positionnement du mois suivant et ainsi de suite. Ce procédé concorde avec la notion Maya selon laquelle chaque mois influence le suivant. La nouvelle année Maya débutait dès lors par le 1 Pop suivi du 2 Pop et ainsi de suite jusqu’au 19 Pop, après quoi naissait le mois Uo, écrit 0 Uo puis 1 Uo, 2 Uo, etc.

La combinaison du Tzolkin et du haab produisait un cycle de 18 980 jours, correspondant à environ 52 années solaires. La fin de ce cycle de 52 ans était particulièrement redoutée parce qu’il s’agissait d’une période où le monde pouvait prendre fin et où le ciel pouvait s’effondrer si les Dieux n’étaient pas satisfaits de la façon dont les êtres humains s’étaient acquittés de leurs obligations.

Mais le cycle de 52 ans n'était toutefois pas adéquat pour mesurer le passage ininterrompu du temps à travers les âges. L’on a donc conçu un autre calendrier appelé le compte long, basé sur les unités suivantes de temps: un kin (un jour); un uinal (un mois de 20 kin); un tun (une année de 360 kin ou 18 uinal); un katun (20 tunes); un baktun (20 katunes ou 400 ans). Il y avait aussi des unités de temps plus longues comme le pictun, le calabtun, le kinchiltun, et le alaun. Chaque alaun équivalait à 64 millions d'années.

Il y a deux façons de dater un évènement d'après les Calendriers mayas. Le compte long est calculé à partir du cycle actuel de la Création et il correspond à notre ère. La date de cette création est fixée à l'an 3114 ou 3113 avant Jésus-Christ de notre calendrier moderne. Cette date est le point de départ de tous les calculs subséquents - tout comme nous fixons les dates de notre histoire moderne à partir de la Naissance du Christ.

Pour indiquer une date, le Calendrier Maya utilisait cinq points de référence dans l'ordre suivant: baktun, katun, tun, uin, kin. L’on écrivait, par exemple: 9.10.19.5.11 10 Chuen 4 Kumku, ce qui correspond à 9 baktuns (1 296 000 jours), 10 katuns (72 000 jours), 19 tuns (6 840 jours), 5 uinals (100 jours), 11 kin (11 jours) ou 1 374 951 jours (environ 3764 années solaires) depuis le début de la dernière Création qui se situe dans le cycle du Calendrier Maya à la position 10 Chuen, 4 Kumku - ou aux alentours de notre année 651 ou 652 après Jésus-Christ.

Un des rôles les plus importants du calendrier n'était pas de fixer les dates avec précision dans le temps, mais d'établir une corrélation entre les actions des chefs mayas et les événements historiques et mythologiques. Les faits et gestes accomplis par les dieux durant les journées mythiques étaient reproduits par les chefs mayas, souvent le jour anniversaire de l'événement - une date qui était soigneusement calculée par les prêtres mayas. Le calendrier servait aussi à désigner le moment des événements passés et futurs. Certains monuments mayas, par exemple, consignent les dates des événements qui se sont produits 90 millions d'années auparavant, tandis que d'autres prédisent des événements qui auront lieu 3000 ans plus tard.

Le calendrier prédisait aussi l'avenir comme c'est le cas pour notre calendrier du zodiaque. Les Mayas croyaient par exemple que la date de naissance d'une personne ou le signe sous lequel elle était née déterminait le sort qui lui était réservé sa vie durant. Le nouveau-né était donc sous l'influence d'un dieu particulier tout au long de son existence. Certains dieux étaient plus bienveillants que d'autres et l'on considérait comme chanceux un enfant né sous d'heureux auspices. L'enfant né sous l'influence d'un dieu moins bénéfique devait toute sa vie s'attirer ses faveurs - surtout durant les périodes inquiétantes comme celle du uayeb de l'année solaire.

Les savants se sont souvent demandé pourquoi le Calendrier Maya était si complexe. La raison en est, en partie, qu'il revenait aux Prêtres Mayas de décider des dates des événements sacrés et du cycle agricole. Il importait donc peu que les gens ordinaires comprennent le calendrier et les prêtres pouvaient le rendre hermétique à souhait.

L'ancien cycle Maya est toujours en vigueur dans le Sud du Mexique et dans les hautes terres mayas où les prêtres du Calendrier s'affairent encore à effectuer le comput des 260 jours pour les actes de divination et autres activités chamaniques. Ces prêtres jonglaient avec les cycles du temps et les opérations savantes pour en effectuer le calcul, surtout à propos des dates qui faisaient coïncider des cycles et des nombres. Ils maintiennent aujourd'hui la tradition dans le Sud du Mexique et dans les hautes terres mayas.

Les Mayas possèdent la compréhension de 17 calendriers certains d’entre eux établissant avec précision une carte du Temps sur une période de plus de dix millions d’années.

Tout a été prédit par les cycles mathématiques des calendriers Mayas — Les choses vont changer — tout va changer. Les gardiens-des-Jours Mayas voient la date du 21 décembre 2012 comme une renaissance, le début du Monde du Cinquième Soleil. Ce sera le début d’une nouvelle ère résultant de – et manifesté par – le méridien solaire traversant l’équateur galactique et la Terre, et s’alignant avec le centre de la galaxie.”

Au lever du soleil le 21 Décembre 2012, pour la première fois depuis 25.920 ans le Soleil se lèvera pour se joindre à l’intersection de la Voie Lactée et du plan écliptique. Cette croix cosmique est considérée comme une incarnation de l’Arbre Sacré, l’Arbre de Vie, un arbre dont toutes les traditions spirituelles du monde se souviennent.

Certains observateurs disent que cet alignement avec le cœur de la galaxie en 2012 ouvrira un canal afin que l’énergie cosmique puisse circuler à travers la Terre, la purifiant ainsi que tout ce qui l’habite, élevant toute chose à un niveau vibratoire supérieur.

Conclusion

Le message général de Carlos Barrios relatif aux Calendriers & Prophéties Mayas nous confirme l'importance et le caractère décisif de l'époque que nous vivons.

Les actuels bouleversements climatiques sont souvent imputés aux activités humaines. C’est certainement en partie vrai, mais pas exactement de la façon couramment comprise. La Cause la plus profonde et la plus fondamentale provient de l’alignement de l’Axe planétaire en direction de l’Est Cosmique le plus élevé. C’est, en effet, par-là qu’arrivent les Rayons purificateurs de la Lumière. De ce point de vue, l’Axe de la Terre s’incline dans la Direction d’où ils proviennent. Cet événement se produit, certes, dans le cadre d’un cycle de 25920 ans, celui dit de la Précession des équinoxes, mais, très vraisemblablement, dans le cadre d’un Cycle encore beaucoup plus vaste, un véritable Virage des Mondes ou Tournant Cosmique, dont le Point d’Aboutissement correspond, cette fois, à celui de la Précession des équinoxes.

Ce qui fait la différence c’est l’intensité et aussi la nature du Rayonnement, car celui provient d’une Source extra-matérielle que l’intellect humain ne peut pas reconnaître. Ce Rayonnement Lumineux agit de façon purificatrice et déclenche toutes sortes d’effets appelés par les êtres humains «catastrophes», afin de redresser les fils embrouillés par la fausse activité humaine.

Il se pourrait que le Calendrier Maya appelé «Tzolkin» nous indique à quel moment cet Alignement sera parfait et donc à sa pleine puissance.

Quoi qu’il en soit, il semble qu’à brève échéance chaque être humain présentement incarné sur la Terre va devoir se trouver confronté à une décisive obligation de choisir: Pour chacun(e), une dernière décision: Vie ou mort, Être ou ne pas-être!

Qu’en toute Liberté chacun fasse son choix!

La résonance Schumann Ce nom est dû au physicien W.O .Schumann qui découvrit entre 1952 et 1957 que l'activité électromagnétique des gaz de l'atmosphère terrestre dans la zone située entre la surface de la Terre et la dernière couche de l'Ionosphère, sur une épaisseur d'environ 55 km, produit une résonance. Cette résonance électromagnétique permet de calculer la fréquence ou taux vibratoire moyen de notre planète. Elle se calcule en divisant la vitesse de la lumière 300,000kms par la circonférence de la Terre 38,400 elle est égal à 7,83Hz. Février 2017 il à été constaté une augmentation qui est passé de 7,83Hz à pour la première fois au dessus de 30Hz. Le 8 Mai 2017 un pic à 120Hz Le 21 aout 2017 à 111Hz




Liens utiles :

Ce documentaire a été réalisé par Quentin Leplat, avec pour réalisateur Clément Staron (Media fusion). https://www.youtube.com/watch?v=HvSDOmZhyjg

Philippe Weber :

Carlos Barrios du clan de l’aigle :

Drunvalo Melchizedek












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